Lorsqu'IL la vit Jésus lui adressa la parole, et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité- Luc 13-12

Depuis près de 2000 ans les paroles de Jésus continuent de se faire entendre, Femme, tu es délivrée - Femme tu es libre !

Aujourd'hui les femmes du monde entier répondent à ces paroles libératrices du Christ. Elles se lèvent et acceptent sans réserves le fait que le plan de Rédemption de Dieu les libère de l'infériorité, de l'ignominie, d'une citoyenneté de seconde classe, de l'insignifiance et de toute autre discrimination culturelle et religieuse qui les limite ou les empêche de servir Christ dans un ministère public.

J'aime la façon dont Jésus a parlé à cette femme dans la synogogue. Il s'adressa à elle en utilisant le seul titre non préjudiciable dont Il pouvait l'appeler : Femme. Non pas épouse, mère, soeur ou fille. Chacun de ces titres l'aurait catégorisée comme étant la propriété d'un homme: son mari, son frère, son père, son maître.

Jésus lui parla en tant que Femme. C'était le seul titre qui pouvait respecter sa valeur humaine individuelle, sa dignité, sa valeur propre en tant que personne humaine, créée à l'image de Dieu. Femme _ l'expression féminine de Dieu.

Quel que soit votre niveau social, votre identité de femme vous caractérise comme la création de Dieu, formée à Sa propre image (Gen.1-27). Oui, vous êtes l'idée de Dieu. Il est très important de vous rappeler votre valeur. Le prix payé pour vous racheter est le même que pour n'importe qui d'autre (Jean 3-16/17). Personne n'est inférieur. Chaque individu est, à titre égal, doté d'excellence et créé de la classe même de Dieu.

Ne permettez jamais à des responsables ou dirigeants religieux de vous intimider, de vous dénigrer ou de diminuer la valeur que vous vous attribuez, en tant que femme. Jésus n'a jamais abaissé ou déprécié qui que ce soit, mais Il a toujours veillé à témoigner respect et estime à chacun de ses interlocuteurs, sans tenir compte de leur niveau social de leur ethnie ou de leur sexe.

Tiré du livre "Femme sans limites" de D. Osborn