TROIS TEMOIGNAGES VERITABLES SUR L’HONNÊTETE
 

Plus de travail au noir 

 Alors que j'avais accepté un travail au noir de facturière, deux mois plus tard la présence de Dieu s'est retirée de ma chambre. Je compris bien vite qu'il fallait que je régularise cette situation illégale. Je contactais alors mon patron et lui dis que je ne souhaitais plus travailler dans les mêmes conditions et je lui demandais de me faire un contrat, il interloqué, il refusa. Je lui expliquai alors que je mettais ma vie en règle devant Dieu et qu'il serait bien qu'il en fasse de même !

la semaine suivante je retrouvais la présence de Dieu dans ma chambre et non seulement cela mais je trouvais 3 jours plus tard un travail de secrétaire à l'INSERM, place que j'ai occupée près de deux années.

Crédit-voiture accordé 

 Mon mari et moi cherchions à acheter une voiture. Nous nous sommes rendus dans un garage et nous abordions un véhicule pour la famille. Malheureusement nous n'avions pas d'économie et devions contracter un crédit. Le commercial du garage, Jacky, nous proposa de truquer les chiffres au regard de la maison de crédit car il pensait que nos revenus étaient insuffisants.

Heurtée par cette méthode je m'empressai de lui dire que nous étions chrétiens et que si notre Dieu avait décidé de nous accorder le crédit, Il le ferait avec nos revenus véritables. Jacky était secoué et dû annoncer à la maison de crédit les chiffres authentiques. A sa grande surprise le crédit fut accordé et le Seigneur glorifié !

 Dette épongée de 35000 euros

 Mon mari devait 44000 euros à une maison de crédit immobilier qu'il avait contracté lors de son premier mariage. Le Tribunal de Nîmes lui retirait mensuellement une somme de remboursement saisie sur son salaire. Son patron le savait.

Cependant mon mari fut licencié pour faute grave et mon mari esta en justice pour licenciement abusif. Après 1 an et demi, le jugement fut en faveur de mon mari pour une somme de 9000 euros.

Son patron, alors qu'il devait payer cette somme, contacta le créancier du crédit immobilier en les avertissant que nous allions toucher ses 9000 euros. La société de crédit immobilier se mit à saisir mon mari par Huissier de justice mais ils ne nous réclamèrent uniquement les 9000 euros.

En fait miraculeusement, ils nous proposaient de régler cette somme et de solder la dette de 44000 euros qui existait depuis une dizaine d'années. Nous avons écrit au siège de la société de crédit immobilier pour connaître le solde officiel de la dette de mon mari, celle-ci fut totalement acquittée. Pour dire encore que non seulement Dieu est fidèle et admirablement bon, mais aussi que le diable fait une œuvre qui le trompe.

 Bruno et Joëlle

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