L'homme n'est pas maître de son souffle
"MOLIERE"
ECCLESIASTE 8 :6-8
Le 13 février 1673, le célèbre Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, que l’on appelait « le contemplateur et le peintre de la nature humaine », alors qu’il était sur les planches d’un théâtre, interprétant l’une de ses œuvres, se sentit brusquement mal et dut interrompre sa représentation. Il fut reconduit à son domicile où il décéda en arrivant. Ironie du sort, la pièce qu’il jouait était : « le malade imaginaire ». Ce fut la consternation générale, l’auteur du malade imaginaire était mort d’une maladie bien réelle !...
Molière occupait une place prépondérante à la cour du roi Louis XIV, devant qui il jouait ses pièces, ainsi que devant la famille royale et la Cour. Il jouissait de la faveur de ce monarque « qui le protégeait et l’assurait de sa sympathie ». Si haut que nous soyons placés, que nous servirait-il de gagner le monde si nous venions à perdre notre âme ? Où que donnerait-on en échange de celle-ci ?
Pour certains, la question reste posée ; pour nous, nous avons la réponse…
Nous avons rencontré Jésus, le merveilleux don de Dieu, dont toute la vie n’a point été imaginaire, mais bien réelle : sa mort, sa résurrection l’attestent, Christ est vivant, et nous lui devons de jouir de la faveur de Dieu et de sa sympathie car il nous aime !...
« Dans les parcs de Jésus,
Paissons en assurance,
Du souverain pasteur, goûtons la grâce immense…
Et savourons les eaux qui coulent nuit et jour
Du trône que pour nous éleva son amour
Reposons doucement dans son gras pâturage
Nous n’avons rien à craindre au plus fort de l’orage
Jésus-Christ est pour nous et toujours avec nous
Demeurons constamment près d’un berger si doux !... »
O la faveur de Dieu !...
C.V.A. Jules DEPIERRE